Foot ou pas foot, ce fût un grand moment.

C’est beau, une foule, gagnée par une liesse populaire bon-enfant !

Les rues dorées par la lumière estivale de cette fin d’après-midi mémorable ont embrassé nos cris, nos chants, nos rires, nos sauts de joie jusqu’à point d’heure.

Et ce fût bon de se sentir unis par la fierté d’être de ce pays, générations, âges, couleurs de peau, origines, genre et philosophies mélangés dans le creuset du nous.

Puisse le vent de fraternisation qui soufflait alors sur nous laisser des traces durables pour les temps d’avenir !

                                                                                   Marie-Christine Bernard – Eté 2018