Qui sait quoi de qui ?
Je n’aimerais pas être à la place de Aug San Suu Kyi. Non. Lâchée et lynchée par l’ensemble des médias alors qu’on ne sait pas pourquoi elle semble indifférente au sort des Rohingyas manifestement maltraités. Mais je n’aimerais pas être à sa place… Et je m’interroge. Pour qu’une femme de ce courage et de cette trempe se taise, il faut qu’elle ait un revolver, non pas sur le front, mais sur celui de gens qui lui sont chers, sa famille, ses amis… Peut-être même que le chantage porte sur des…en savoir plus